* Résumé : La dernière étape du voyage à pied de Bernard Ollivier mène le lecteur des neiges du Pamir au désert du Taklamakan puis du désert de Gobi jusqu'à la Chine des Han, rendant compte de son expérience : l'hospitalité de l'islam rendue aux voyageur, le retour dans ce que l'on appelle la civilisation, mais aussi de son expérience personnelle, celle de sa propre découverte.

L'auteur chemine sur la route de la soie essentiellement à la belle saison car sa route est impraticable l'hiver. Le livre qu'il en rapporte (en trois épisodes : Longue marche, Vers Samarcande, Le Vent des steppes), accueilli par une critique médusée, n'est en rien l'évocation d'un exploit : simplement le récit émerveillé d'un voyageur qui va de rencontre en rencontre, ne cesse de se demander pourquoi il marche... et constate que son projet lui est aussi mystérieux que le monde

Après avoir arpenté pendant trois ans la légendaire route d'Istambul à Xi'an en Chine, Bernard Ollivier a eu la nostalgie des paysages et des passants du grand chemin. En compagnie d'un aquarelliste, il refait le chemin, cette fois à bord de divers véhicules.

Du printemps à l'été 2000, l'auteur poursuit sa route de la Turquie jusqu'en Ouzbekistan en passant par plusieurs déserts.

L'auteur fait le récit des 3.000 kilomètres qu'il a parcourus entre Lyon et Istanbul pour boucler la route de la Soie qu'il a entamée quelques années auparavant. Dans cette suite de paysages et de rencontres, le voyageur évoque l'histoire tragique des Balkans et invite à plus de fraternité. L'ensemble est complété par de courts textes de sa compagne B. Flatet.