Milan Records et Sony Classical présentent la bande-originale du film Aline, fiction librement inspirée de la vie de Céline Dion et événement cinématographique signé Valérie Lemercier. Les fans retrouveront évidemment tous les grands tubes en français et en anglais de la chanteuse canadienne, ici interprétés par Victoria Sio (Les Trois Mousquetaires, Le Roi Soleil... ) qui prête sa voix au personnage d'Aline lors des passages chantés du film. Ses interprétations intelligentes, qui ne cherchent pas à imiter en tout point Céline Dion, en font de superbes reprises. On retrouve ainsi sur l'album de la bande originale les morceaux incontournables tels que Pour que tu m'aimes encore, All By Myself, My Heart Will Go On, I'm Alive, Ordinaire, mais aussi Tellement j'ai d'amour pour toi ou encore Let's Talk About Love. L'album inclut également les morceaux Love Me Tender d'Elvis Presley et Going to a Town de Rufus Wainwright tels qu'entendus dans le film. En bonus, Je sais pas chantée par Victoria Sio et Valérie Lemercier, chanson absente du film mais présente sur l'album !

Le nouveau film de Ben Affleck. AIR dévoile l'incroyable histoire du partenariat entre le débutant de l'époque Michael Jordan et la marque Nike qui a révolutionné le monde du sport et de la pop culture contemporaine avec l'Air Jordan. Cette histoire émouvante retrace le pari d'une équipe hors normes, la vision intransigeante d'une mère qui connaissait mieux que quiconque le talent de son fils, et d'un phénomène du basket qui deviendrait le plus grand de tous les temps. Avec Ben Affleck, Matt Damon, Chris Tucker, Viola Davis...

Cinq ans après le succès du bien nommé Giant et des centaines de concerts, le duo marquait un retour aux sources avec Strange moosic, album qui renouait avec l'esprit plus rock de leurs débuts. Mariage à Mendoza est en fait la bande originale d'un road-movie radieux, burlesque et moderne sur les routes argentines avec notamment Nicolas Duvauchelle et Benjamin Biolay.

Inédit hors Israël, voici pour la première fois édité en CD et vinyle Shaot regishot ("Sensitive hours"), l'album disque d'or en Israël enregistré en hébreu par Avishai entre Gently disturbed et Aurora. Pour la première fois de sa carrière, il ne se lance pas dans un disque instrumental, mais dans un album de chansons magnifiques qu'il écrit et interprète, fortement influencées par le jazz, certaines musiques traditionnelles, révélant une voix aux accents multiples et d'un charme fou... Un jalon essentiel de sa déjà riche discographie.

Entre Shadi, soliste du setâr formée à Téhéran par le grand maître de la musique classique persane Dariush Talaï, et Bijan, virtuose du zarb, du daf et autres percussions, s'est imposée l'idée d'allier les instruments à cordes frottées et à cordes pincées, ainsi que les percussions et les instruments à vent, en s'entourant d'invités. Au fil des titres surgissent ainsi habilement les notes de Redi Hasa au violoncelle, de Shervin Mohajer au kamantcheh iranien (instrument à cordes frottées de la famille de la vielle) et de Sylvain Barou aux flûtes (doudouk, bansurî, etc.). Comme une ponctuation onirique et irradiante, cinq morceaux donnent aussi à entendre des poésies de Khayyâm, Mowlana Rûmi et d'auteurs persans contemporains, portées par la voix de Shadi. Dans une actualité dramatique, après deux années durant lesquelles la culture s'est tue, wât résonne comme une renaissance foisonnante où s'entremêlent la douceur des mélodies et la puissance de l'interprétation.

Un album de cumbias endiablées idéal pour les dancefloors par Quantic et son groupe. A noter une reprise mémorable du Another one bites the dust de Queen !

Depuis plus de quinze ans le septet parisien fondé par le chanteur percussionniste Osman Jr. nous embarque avec ferveur dans sa vision contemporaine des vibrations latin groove du Spanish Harlem des années 60 et 70. Setenta renouvelle constamment son répertoire, explore chaque recoin du latin groove, mêlant avec classe les rythmes afro-cubains et caribéens au funk torride, aux orchestrations soul sophistiquées ou au spititual jazz. Deux ans après We latin like that, le collectif parisien revient avec Materia ce cinquième album où les rythmes dansants côtoient un p-funk sombre et psychédélique.

Après une période intensive en studio, Kvitravn marque une nette évolution dans le son unique de Wardruna. Dans une riche palette musicale, le groupe utilise une large sélection d'instruments traditionnels et historiques tels que le Kravik-lyre, le Trossingen-lyre, le Taglharpa, le Sootharp, le Langeleik, le Crwth, le Goat- horn, le Lur, le Bronze-lur, la flûte, le Moraharpa. Le disque présente également des apparitions d'un petit groupe d'éminents chanteurs traditionnels, dirigé par Kirsten Braten Berg, l'une des plus importantes gardiennes du chant traditionnel norvégien. Tout au long des onze chansons, Kvitravn aborde la sorcellerie nordique, les esprits venant des animaux, les ombres, la nature et l'animisme, la sagesse et les significations de certains mythes, divers concepts spirituels nordiques et la relation entre le sage et les chansons.

Après l'énorme succès de l'album Tincian paru en 2014, qui s'est vu gagner le prix du meilleur album aux BBC Radio 2 Folk Awards, Anian naît dans le Nord du Pays de Galles dans un tour de force émouvant, enrichi d'influences grecques et du Proche Orient. Ce disque a été enregistré en langue galloise, au Real World Studios. Les onze chansons vont des rythmes doux et entraînants aux rythmes profonds et captivants portés par le chant aérien et les sons envoûtants de guitare et harpe.

Quand se gonflent les poumons de l'un et le soufflet de l'autre, l'air raconte toujours une histoire. L'accordéon de Guilhem Verger met en relief le chant de Laurent Cavalié, et colore son groove puissant à la Bombe du Lauragais. Connectés au patrimoine poétique occitan mais aussi à leur imaginaire, attachés à leur sol et aux gens qui l'habitent, ils se sont réunis autour de la vision commune d'un monde d'échange permanent entre l'ici et l'ailleurs, gageant que c'est en ayant bien les pieds dans sa terre que l'on s'ouvre à l'extérieur. Laurent et Guilhem sillonnent sur des pistes qui passent entre plusieurs univers, flirtent discrètement avec la danse, reliés par leurs sens du rythme, la mélodie de la poésie et la poésie de la mélodie...

Emmené par son charismatique leader Olivier Araste, le groupe réunionnais diffuse depuis 1999 un maloya tourné vers Madagascar.